Niko Kranjcar vers...LYON

Pour ceux qui le connaissent pas il n'a que 21 ans et que ca fait déjà plus d'un an qu'il est titulaire dans la selection croate
A 17 ans il était déjà capitaine du Dinamo de Zagreb donc je pense qu'il a déjà pas mal d'experience et que c'est un très bon pari sur l'avenir..

2 vidéos de kranjcar

https://www.dailymotion.com/visited/m...ch/video/22019

https://www.dailymotion.com/mich-mich/video/22022

Suivi depuis l’age de 15 ans par Gérard Houllier qui l’avait repéré en Angleterre a l’occasion d’un tournoi de jeune, l’internationale croate Niko Kranjcar 21 ans, fils de l’actuel sélectionneur de la Croatie intéresse belle et bien Lyon, l’entraîneur des gones insistant pour dire que kranjcar, « dont le jeu s’apparente un peu a celui de Cantona, est a la fois efficace et très fort techniquement «.
Disposant d’une close libératoire lui permettant de quitter Hajduk Split en 2006 moyennant une somme de 3 millions €ures. Kranjkar était même en route pour Lyon la semaine dernière quand diverse indiscrétion en provenance de Croatie (qui on eu le dont de le mettre en colère) l’auraient contraint a faire marche a rire alors qu’il se trouvait déjà a francfort.
Aux dernières nouvelles, le jeune internationale croate (qui dispose d’un intéressant passport autrichien) serait également sur les tablettes du Bayern de Munich, qui serait près à débourser 4 millions d’euros pour s’attacher ses services. Ce afin de pallier un probable départ de michael Ballack vers l’Espagne ou l’Italie en fin de saison.


d'apres france foot de mardi

Interessant ça!!jle connaissait pas du tout,et si le BAYERN le veut pour remplacer ballack ça doit etre qq chose!!

A savoir que Lyon est toujours dessus...

moi il m'interresse vraiment ce joeur !! je le sens bien

moi aussi...

clair !! il est trop fort pour 17 ans !! pioufff vien a lyon step !!

il en a 21 je crois maintenant

Croatie
Kranjcar : "L'amour du football m'a ouvert la route"



29 déc. 2005

Tel père, tel fils. Au Dinamo Zagreb, Zlatko Kranjcar est une légende. Il a mené de main de maître la Croatie à la qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA 06. Et son fils Niko semble bien parti pour lui emboîter le pas. A 17 ans, il était déjà capitaine de l'équipe de son cœur, le Dinamo Zagreb. Il a remporté le championnat de Croatie la saison dernière avec Hajduk Split. Et c'est lui qui, depuis longtemps déjà, en équipe nationale, tire les ficelles au milieu du terrain. Pas étonnant dans ces conditions que les grands clubs européens lui fassent les yeux doux. Dans une interview accordée à FIFA.com, Kranjcar junior raconte sa relation avec son père, ses espoirs pour la Coupe du Monde de la FIFA 2006, son admiration pour Francesco Totti et explique pourquoi il pourrait changer de club dès la trêve hivernale.

Votre père est sélectionneur national, et vous êtes le grand espoir du milieu de terrain de l'équipe de Croatie. Y a-t-il d'autres joueurs dans la famille ?

Pas au même niveau, à vrai dire. Lana, ma sœur de 23 ans, joue au basket depuis deux ans. C'est un sport que ma mère pratique depuis 20 ans. Mais elles ne sont pas professionnelles.

Nul doute que le football joue un rôle important dans une famille aussi sportive. Disputes et discussions doivent y être fréquentes ?

On ne se dispute pas, mais il est vrai qu'on discute beaucoup de sport. Pas autant, toutefois, que les gens pourraient penser. Après les entraînements ou les matches, mon père et moi préférons souvent parler de tout sauf de football, à la maison. C'est un moment où nous aimons bavarder de la famille et de ce que chacun d'entre nous fait.

Vous souvenez-vous encore de votre premier contact avec le football ?

C'était à Vienne. Mon père jouait au Rapid et, un jour, je l'ai accompagné à l'entraînement. C'est là que j'ai découvert le football. Et j'ai tout de suite adoré. Puis, j'ai commencé à participer aux entraînements des jeunes. Mais mon père ne m'a jamais forcé la main. C'est toujours moi qui ai décidé. Finalement, c'est l'amour du football qui m'a ouvert la route vers une carrière professionnelle.

Avoir un papa sélectionneur national est-il un avantage ou plutôt un inconvénient ?

L'un et l'autre, je dirais. C'est assurément un inconvénient d'entendre répéter sans cesse que je ne joue que parce qu'il est entraîneur. Je dois toujours être le meilleur pour que les gens admettent que j'ai bien joué. D'un autre côté, je connais évidemment très bien mon père et je sais que c'est un excellent entraîneur … et qu'il est encore meilleur en tant qu'homme. A cet égard, c'est une chance de l'avoir comme sélectionneur national.

Quelle relation entretenez-vous avec votre père ?
Nous sommes comme les meilleurs amis du monde. Quand il était encore joueur, je passais toutes mes journées avec ma mère et ma sœur et j'étais chaque soir heureux de le voir rentrer à la maison, parce que je pouvais jouer avec lui. Ces liens se sont encore resserrés lorsque nous avons quitté Vienne pour rentrer en Croatie. J'ai pu passer beaucoup plus de temps avec lui.

Le football donne toujours matière à discussion. Comment faites-vous quand vous n'êtes pas d'accord avec votre père et entraîneur ? Les discussions sont-elles animées ?
Oui, il nous arrive de nous chamailler à propos de football. Mais ce n'est jamais vraiment grave. Il nous arrive de ne pas être d'accord, mais je pense que nous sommes sur la même longueur d'ondes 90% du temps. Je suis mon juge le plus sévère et je sais toujours si j'ai bien joué ou pas. Mais j'accepte toujours ses critiques. Mon père reste un grand connaisseur en matière de football. Cela dit, c'est sûr que je préfère l'entendre dire des choses positives sur mon jeu. En fait, je ne me suis jamais vraiment fâché avec mon père.

On parle de vous comme du successeur de Robert Prosinecki au poste de meneur de jeu en équipe nationale. Est-ce un héritage difficile à assumer ?
C'est d'une part une grande responsabilité : qui n'aimerait pas égaler Prosinecki et Boban ? Mais c'est aussi un grand honneur pour moi d'être comparé à mes deux idoles.

Prosinecki et Boban sont donc vos modèles ?

En Croatie, sans aucun doute. Ailleurs, je m'inspire davantage de Francesco Totti. Pas seulement pour sa façon de jouer, mais aussi pour son caractère. Il est né à Rome et y a grandi. Aujourd'hui, on peut dire qu'il est devenu le petit prince de Rome. Son attachement, et celui de sa famille, à son club est extraordinaire.

Avez-vous aussi un club qui vous tient particulièrement à cœur ?
Evidemment. C'est le Dinamo Zagreb. Je suis devenu capitaine du Dinamo à 17 ans, et mon père y est considéré comme une légende. Pourtant, je n'ai pas que de bons souvenirs dans ce club. L'année dernière, je me suis disputé avec les dirigeants et j'ai quitté le Dinamo pour Hadjuk Split, son grand rival. Cela a été la période la plus difficile de ma vie. Pourtant, j'ai remporté le championnat six mois plus tard, ce qui m'a mis un peu de baume au cœur. Reste que je porterai toujours le Dinamo dans mon cœur. Pas comme ses dirigeants actuels…

Vous avez décroché la qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA 2006. Avez-vous un moment douté d'y parvenir ?

Oui et non. Avant de concéder le nul à Malte, nous avions remporté tous nos matches. Il nous restait deux matches difficiles à disputer mais nous étions certains d'y arriver. Pourtant, j'ai parfois pensé que les choses pourraient mal tourner en cas de défaite.

La Croatie devrait bénéficier d'un large soutien populaire lors de la Coupe du Monde de la FIFA 2006. Quels seront vos objectifs ?

Notre premier objectif doit être la qualification pour le deuxième tour. Après, ce sera un peu une loterie. Nous pourrions tomber sur une équipe face à laquelle nous avons très peu de chances. Mais on a vu lors du dernier Euro qu'être favori ne voulait plus rien dire. Tout le monde peut devenir champion du monde. Ce qui rend le football aussi passionnant, c'est que ce ne sont pas toujours les meilleures équipes qui gagnent. Nous espérons pouvoir faire aussi bien que la génération précédente, qui s'était classée troisième en France. Pourquoi ne pourrions-nous pas rêver d'un quart de finale ou d'une demi-finale ?

Vous êtes le seul international croate à évoluer au pays. Vous retrouvera-t-on dans un des grands championnats européens après la Coupe du Monde de la FIFA 2006 ?

Oui, je pense que ma carrière prendra une tournure internationale. Il est même possible que je change de club pendant la trêve hivernale. Je suis déjà en contact avec plusieurs équipes. Si cela ne se concrétise pas, la Coupe du Monde sera évidemment une vitrine idéale pour me mettre en évidence.

On vous voit déjà au Bayern Munich comme successeur de Michael Ballack, au cas où ce dernier viendrait à quitter la Bavière. Avez-vous déjà eu des contacts avec le manager du Bayern Uli Hoeness ?

Je n'ai pas encore eu de contact direct avec Uli Hoeness, mais des contacts informels ont déjà eu lieu. De toute façon, l'hiver sera bien assez long pour étudier toutes les options. Nous verrons bien alors si le Bayern a quelque chose à proposer.

Vous parlez bien allemand. Cela signifie-t-il qu'un transfert en Bundesliga est en vue ?

Mon père a joué au Rapid Vienne pendant neuf saisons. C'est là que j'ai appris l'allemand. Je parle également l'anglais car je suis aussi allé à l'école américaine de Vienne. Si je viens en Allemagne, il faudra cependant que je révise un peu mon allemand.




source fifa.com

cool ...... c'est un bon lui

wé fodré qui vienne !