Barthez...

Barthez continuerait en L1
Fabien Barthez, dans un long entretien accordé lundi à L'Equipe, déclare qu'il ne jouera plus à Nantes la saison prochaine en cas de descente en L2, et laisse ainsi entendre qu'il poursuivra en cas de maintien. « Si on descend en Ligue 2, je ne serai plus là. Et je n'ai qu'une envie, c'est d'être là et de respecter le contrat de confiance que j'ai passé avec le président Roussillon, prévient le gardien du FCNA. Est-ce que j'arrêterai ? Je ne sais pas du tout. Il faudrait que je retrouve le même genre de président, un homme qui me laisse carte blanche sur le terrain et en dehors. Attention, je ne me place pas hors de toutes règles. Mais, à trente-cinq ans, je pense me connaître.»



Dans le même entretien, l'ancien gardien des Bleus ne nie pas que l'entourage du FCNA exerce une influence négative dans l'expression de l'équipe. Il confirme aussi le malaise qui lui avait été prêté peu après son arrivée quand il avait séché un entraînement de Georges Eo. «Pour moi, de bonnes conditions d'entraînement sont celles d'un match, explique Barthez. C'est ça, le haut niveau. Quand on est dans le but, ont doit avoir devant soi la ligne des six mètres, le point de penalty, la ligne des dix-huit... Ce n'était pas le cas. Bruno Martini, quand il était le gardien d'Auxerre, demandait que le terrain soit arrosé chaque matin parce que, le samedi soir, quand il jouait, l'herbe était humide. Je n'ai rien inventé, j'ai retenu.»

« Comme un amateur qui serait un professionnel »
Sur l'influence des anciens : «Je ne suis pas obligé de faire avec, alors je ne fais pas, voilà. On sent leur présence, c'est sûr. Je préfère que les gens qui critiquent le fassent haut et fort. Sinon, comment croire ce qu'ils disent et aller au combat avec eux ? C'est la différence avec un Suaudeau, un Denoueix, qui inspirent le respect.» Sur l'unité de l'équipe actuelle : «La priorité, c'est le vestiaire. Ce qui se passe dans le vestiaire doit rester dans le vestiaire. À Nantes, on a du mal à le comprendre et c'est une énorme erreur. On trouve toujours quelques échos, à gauche, à droite. Des déclarations anonymes. Et quand vous demandez qui a parlé, évidemment c'est personne. Parfois, on se regarde de travers, les joueurs, le staff technique, le staff médical... Ça fait mal de ne pas savoir à qui on dit bonjour le matin.»

Barthez, qui dit «ressentir un contrecoup physique depuis une douzaine de jours», deux mois après son retour consécutif à six mois d'inactivité, espère que la victoire à Sochaux (2-1), dimanche, n'entraînera aucun relâchement. «Rien n'est acquis, il est primordial d'en avoir conscience.» Le «plaisir» est son moteur répète-t-il. Barthez est «comme un amateur qui serait un professionnel».



heuuuuu, lui il a l'esprit club a fond lolll
Il pense deja a apres il s'en bat trop les couilles du fc nantes...

Oui c'est sûr!!Enorme Fabien..Il pense toujours qu'a sa gueule!!